Stéphane Drouet/ATELIER 25 : LA BANALITÉ D'ÊTRE VIVANT COMME BONHEUR ÉTERNEL

« TA BANALITÉ D’ÊTRE VIVANT(E) COMME BONHEUR ETERNEL »

Où est passé ton bonheur total d’être juste vivant(e) ? Où est passée ta banalité ?

Où as-tu oublié ta plus grande force vivante, ta banalité d’être juste vivant(e) ? Quand l’as-tu oublié, ce bien le plus précieux en toi ? Comment as-tu oublié ta réussite totale et permanente, être vivant(e) ? Et finalement si elle est si banale que cela, pourquoi es-tu si attaché(e) à ne pas mourir, à ne pas perdre cette vie si précieuse ? Lorsque tu perds ton argent, lorsque tu perds ton amoureux(se), lorsque tu perds ton travail, lorsque tu perds ton corps, lorsque tu perds tes enfants, lorsque tu perds tes amis, vois-tu encore que tu as gardé l’essentiel, la Vie ?

Par quoi sommes-nous passés pour avoir oublier notre réussite totale, notre antidote à tout, notre bonheur naturel, être vivant(e) ? Comment avons-nous perdu ce signal banal du Vivant, qui faisait de nous avant deux ans, le bonheur incarné ? La peur de perdre et de mourir sont encore les derniers vestiges qui nous rattachent à ce bonheur perdu qui est notre nature sans interruption, la Vie. Depuis l’âge de deux ans, d’autres besoins personnels sont venus nous faire oublier notre plus grande force, notre banalité d’être vivant(e). Devons-nous attendre de perdre quelque chose qui nous est cher, de perdre quelqu’un qui nous est cher, pour retrouver ce chemin du bonheur éternel, ou pouvons-nous encore vivre tous nos évènements de vie à partir de notre banalité vivante ?

Fort(e) de ces retrouvailles, que peut t’importer ce que tu fais ou ne fais pas dans ta vie, ce que tu perds, ce que tu gagnes, ce que tu as, ce qui te manque. Ta banalité d’être juste en vie peut redevenir le succès de toutes tes entreprises, de tous tes élans, comme l’enfant en toi qui courait le coeur tout ouvert dans les jardins, dans les champs, dans tous les espaces libres. Que savais-tu alors de ta réussite personnelle, le plus grand éloignement de ta plus grande force ? Tu n’en savais rien, et tu respirais le bonheur, la Vie.

Où se cache cette force vivante dans nos liquides corporels, où nous attend-t-elle dans nos coeurs sourds et aveugles ? C’est l’espace de partage qui nous sera proposé durant l’atelier conférence du 25 avril, à 19h, où le langage paradoxal de la Matrice nous donnera ses messages éclairants, élargis par le protocole Peace et ses mantras dernière génération.

  • 47 €

ATELIER 25 : LA BANALITÉ D'ÊTRE VIVANT COMME BONHEUR ÉTERNEL

  • Cours
  • 3 Leçons