Le regard de l'autre laisse apparaître nos propres frontières vers la liberté.

Dès que nous naissons, nous avons besoin de soins, d'attention, de connexion, de relation, bref, de reconnaissance. La dépendance affective s'installe. Nous apprenons la crainte de décevoir, de ne pas être « assez », d’être rejetée, en fonction de références externes absolues. 

Ceci est bien, ceci est mal. Cela est juste, cela est faux. Nous apprenons à fonctionner de la même manière envers les autres, en approuvant ou non leurs choix et leurs comportements sur la base de nos références.

 
Parfois, nous redoutons le regard des autres de manière constante, au point de ne plus oser agir… 

Mettre du rouge à lèvres très rouge, crier, pleurer, dénuder ses jambes, laisser apparaître sa féminité, son masculin, draguer, danser avec insouciance, faire l'amour sans tabous, rire de tout… Tout ce que nous sommes est soumis au regard des autres.

 

Par peur d’être rappelé·es à la norme ou par crainte que les autres interprètent mal nos actions, nous nous refusons à agir, nous demandons une validation. Nous gardons pour nous ce que nous aurions aimé exprimer et nous nous privons de faire des choses dont nous aurions pourtant envie. Nous nous coupons de notre spontanéité naturelle. Cet élan sans jugement, libre d’être. 

Et si jour après jour nous nourrissions l'élan de Vie libre d'être celui que nous avons perdu ? Et si ce regard s’émancipait de lui-même ?  Et si nous laissions libre d'être ce regard pour laisser les frontières de nos croyances se dissoudre ? Et si nous laissions cet élan prendre toute la place ? 

 

Par une pratique corporelle guidée en Présence, cette séance de Yo-Peace vous propose d’explorer les frontières de votre propre émancipation.

Rendez-vous en direct mardi 4 mai à 10h30 (replay disponible dès le lendemain). La séance sera suivie d’un échange (non enregistré).